tag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post5992875122749144219..comments2023-08-30T01:14:07.570+02:00Comments on une fameuse gorgée de poison: sur Hellboy II et quelques autres spectacles - sur la mort du film d'action - sur la morale de l'émotion - sur le génie de Jason Bourneasketonerhttp://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-77118100742140245132008-11-17T19:19:00.000+01:002008-11-17T19:19:00.000+01:00Oui, absolument.J'ai pensé aussi aux Sopranos, où ...Oui, absolument.<BR/>J'ai pensé aussi aux Sopranos, où Tony Soprano ne cesse de répéter à sa psy qu'aujourd'hui il n'y a plus de types comme Cary Grant(revoilà La mort aux trousses).asketonerhttps://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-77200060317192618112008-11-17T09:23:00.000+01:002008-11-17T09:23:00.000+01:00En repensant à tout cela, et aux séries, on pourra...En repensant à tout cela, et aux séries, on pourrait concevoir que Lost est une sorte d'illustration exemplaire : chaque personnage, par ses réactions toujours subordonnées à son passé, n'est qu'une boule d'affects entraînée malgré elle, au pas de charge, dans chaque recoin de l'île.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-16700624148201962582008-11-15T13:20:00.000+01:002008-11-15T13:20:00.000+01:00J'ai vu seulement les saisons 2 et 3 (ou 3 et 4) d...J'ai vu seulement les saisons 2 et 3 (ou 3 et 4) de 24, et j'ai eu l'impression que, si l'affect était enivsagé, il n'était jamais choisi. L'affect n'était là qu'en contrepoint dialectique.<BR/>Et la présence un peu JohnWaynesque de Kiefer Sutherland absorbait tout ce qui débordait (les scènes avec sa fille, notamment).<BR/>A revoir...asketonerhttps://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-75857223463579531862008-11-15T09:38:00.000+01:002008-11-15T09:38:00.000+01:00"On ne peut plus faire courir un héros sans qu'il ..."On ne peut plus faire courir un héros sans qu'il pense à sa femme."<BR/><BR/>C'est très juste, et c'est sans doute l'aphorisme le plus juste sur le cinéma d'action des années 80-90-00 que j'ai lu !<BR/><BR/>Et je crains que Jack Bauer ne soit lui aussi bourré d'affects...Anonymousnoreply@blogger.com