tag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post5494153602761723605..comments2023-08-30T01:14:07.570+02:00Comments on une fameuse gorgée de poison: Le cheval de Turin - Bela Tarr - A Torinoi Loasketonerhttp://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-72807201149900864482012-10-10T12:35:38.605+02:002012-10-10T12:35:38.605+02:00Chez Beckett il y a un humour qui fait tout trembl...Chez Beckett il y a un humour qui fait tout trembler, et qui empêche toute sentence de devenir une pose. Il y a aussi un mouvement qui part du minuscule pour atteindre l'immense écrasement. Là, Bela Tarr me semble poser d'emblée l'écrasement, et ne propose (je trouve) que du minuscule au bout de sa lorgnette.asketonerhttps://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-23107000858387036242012-10-09T10:47:14.905+02:002012-10-09T10:47:14.905+02:00Pas d'accord ! bien que vos arguments soient s...Pas d'accord ! bien que vos arguments soient soient tous pertinents... en tous cas moi j'ai marché ; oui, c'est un nietzschéisme plutôt mort et dévitalisé qui est proposé là, plus beckettien que nietzschéen d'ailleurs. Mais comme vous le dites très bien dans votre (chouette) texte sur l'Apollonide : "C'est la même chose avec la personne qu'on aime : on l'aime absolument, elle nous fait aimer le monde entier, mais on se rend compte que le monde entier ne l'aime pas nécessairement (tant mieux, d'ailleurs)"<br />cordialementwinstonhttps://www.blogger.com/profile/04067929002413228485noreply@blogger.com