tag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post3914432778166583432..comments2023-08-30T01:14:07.570+02:00Comments on une fameuse gorgée de poison: le dernier geste (sur Hunger, de Steve Mac Queen, et Salo, de Pier Paolo Pasolini)asketonerhttp://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-67964530295830197992008-12-04T02:25:00.000+01:002008-12-04T02:25:00.000+01:00Je ne comprends pas trop pourquoi les commentaires...Je ne comprends pas trop pourquoi les commentaires ne s'affichent pas. Il faut vouloir y répondre pour les voir. M'enfin...asketonerhttps://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-81705657888911941332008-12-04T02:15:00.000+01:002008-12-04T02:15:00.000+01:00A vrai dire, c'est en voyant Hunger que je me suis...A vrai dire, c'est en voyant Hunger que je me suis demandé si je me souvenais de Salo. Je l'ai revu le lendemain. C'est tout juste incroyable, cette force que ce film a, de faire en sorte que le spectateur s'y trouve seul, nu, désemparé, sans masque, sans tricherie possible. C'est important, dans une vie, de voir Salo. C'est aussi très important de le revoir.<BR/>Hunger est plus 'choc', plus 'physique' aussi, moins théorique peut-être... Mais il a cette même puissance du dénuement.<BR/><BR/>Les Garrel et Coppola, je ne sais pas, à un moment quelque chose prend (il suffit de peu, d'ailleurs), et on plonge. C'est aussi ça la limite de dire ce film est bon / ce film est mauvais. Parler d'un film (ou parler avec le film), c'est peut-être dire pourquoi on plonge ou pas, et comment. Et c'est ce que tu fais. Ca reste (le cinéma), une expérience très personnelle.asketonerhttps://www.blogger.com/profile/10759144132740484644noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-293970553865827654.post-877300511697972502008-12-03T22:59:00.000+01:002008-12-03T22:59:00.000+01:00Après ton passage sur mon blog, à mon tour de salu...Après ton passage sur mon blog, à mon tour de saluer la pertinence de tes textes et de ton blog, en particulier sur des films que tu défends avec conviction et qui ne m'ont pas du tout touché (les derniers Coppola ou Garrel, en l'occurrence). Toujours stimulant de trouver des avocats sincères. Aurais-je mal vu les films ? En tout cas, ça donne envie de les reconsidérer.<BR/><BR/>Pour en revenir à Hunger, j'ai aussi pensé à Salo, mais le souvenir du Pasolini n'est pas très net chez moi. Le plus étonnant dans tout cela reste tout de même l'aspect incroyablement ritualisé de cette oppression d'Etat.Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.com